Le club des 5

5 janvier 2010

Je l'avais pas encore fait, mais je ne vois pas de meilleure occasion que celle ci pour présenter mes collocs.
L'occasion des retrouvailles après les fêtes, l'occasion de la fête de la chaussette à doigts.
alors voilà :

Jordi
Jordi c'est la crème de la crème. Style anglais... pas toujours du meilleur goût, mais bon on le pardonne il est catalan le pov. Le sourire, la générosité, l'attention, la gentillesse, la discrétion. Excellent musicien, très pointu en musique quelle qu'elle soit, toujours par monts et par vaux, très fétard aussi mais plutôt version rock, bière et comptoir de bar que fou-fou et danse jusqu'au bout de la nuit....

Carlota
Carlota c'est la movida à elle toute seule. Toujours à fond, la télé à fond, la musique à fond, avec en permanence ce petit sautillement d'excitation... Elle n'aime que les gros machos qui lui font du mal, elle peut chanter (faux) toute la musique espagnole des années 80 à nos jours, elle met 1h à s'habiller tous les matins, fume en disant qu'elle ne fume pas, parle comme une racaille et adooooooooooooore tout ce qui est petit et mignon....
Mais c'est aussi la reine de la tortilla de patatas, de l'animation, du "je prends soin des autres", et des câlins. Et elle se marre tout le temps. Une tornade de bonheur.

Dani
Dani c'est la sensibilité à fleur de peau. Timide mais déterminé. C'est un mystère à part entière aussi, passé du skinhead en révolte aux cheveux bleus ou verts chanteur d'un groupe de hardcore et très très seul, voire autiste, au gars tranquille qui cherche son chemin dans l'ouverture aux autres, la relaxation, la bouffe à la vapeur, la maîtrise de son corps et de son esprit, la réflexion permanente... et le piano. Sévèrement mystique mais ça lui va bien. Tout ça nappé d'une douceur et d'une sensibilité extrême qui le pousse à être très participatif, très impliqué, mais aussi complètement dépassé par ses propres sentiments parfois. Pas stable, mais avec le regard clair et une envie plus grosse que lui. Et puis ça n'enlève rien, il pique un peu les yeux.

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Jorge
Jorge c'est le mâle. Il marque son territoire, en posant son regard d'aigle sur tout et tous. Très fin, rien ne lui échappe. Et tout ressort, le plus souvent sous forme de taquineries, un poil borderline parfois. Jorge est imprégné jusqu'à la moelle de sa culture argentine, notamment musicale. Politiquement parlant aussi. Il est générateur d'excellentes et grandes discussions. Accueillant, il est toujours en train de proposer à manger, un verre de vin ou une taffe de pétard. C'est aussi et de loin le plus casanier d'entre nous, et le plus poète.

Voilà, tout ça nous fait une belle étoile à 5 branches :

C'est frais c'est sympa, c'est un beau voyage dans une langue, une culture, une vie commune.
Avec un peu plus de temps ça aurait été plus profond... mais ils marqueront quand même.